Vulog la start-up de l’autopartage lève 17,5 millions d’euros

Vulog la start-up de l’autopartage spécialiste des technologies de ces technologies, vient de lever une troisième levée de fonds et récolte 17,5 millions d’euros. Elle compte maintenant accélérer le déploiement de sa plateforme à l’international, notamment en Amérique du Nord et en Asie.

Vulog la start-up de l’autopartage lève 17,5 millions d’euros

Vulog est cette pépite française spécialisée dans les technologies de mobilité partagée. Elle a été créée en 2006 à Nice par Georges Gallais et David Emsellem, des chercheurs de l’Inria. La start-up propose ainsi une plateforme SaaS permettant à tout opérateur de mobilité, tel que loueurs de véhicules, constructeurs automobiles ou start-ups, de lancer des services d’autopartage, que ce soit en free-floating (libre-service), de station à station ou en boucle.

La société peut aussi bien fournir l’infrastructure logicielle et hardware (embarquée ou intégrée aux véhicules) que les applications mobiles (en marque blanche) utilisées par les usagers ou les outils d’analytiques pour la gestion de la flotte de véhicules. Au total, ce sont aujourd’hui plus de 10 millions de trajets d’autopartage qui sont facilités par la société française.

Vulog annonce avoir bouclé sa troisième levée de fonds, d’un montant de 17,5 millions d’euros. Ce nouveau tour de table a été réalisé auprès de Frog Capital (Royaume-Uni), Inven Capital (République tchèque), ainsi que de ses investisseurs d’origine, le fonds Ecotechnologies de Bpifrance et ETF Partners (Royaume-Uni). La précédente levée, d’un montant de 8,4 millions d’euros, datait de 2015.

Vulog la start-up de l’autopartage s’installe aux USA

Vulog, qui compte aujourd’hui 60 salariés, a l’intention d’en embaucher 25 de plus dans les prochains mois : il va bientôt créer un bureau à Silicon Valley en plus de ses implantations en France, à Toronto et à Vancouver. Par ailleurs, la start-up travaille étroitement avec un certain nombre de constructeurs automobiles pour intégrer directement sa plateforme dans des véhicules connectés. Enfin, Vulog espère également signer avec de nouveaux clients en Amérique du Nord, en Asie et bien sûr, en Europe.

 

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