ManoMano lève 60 millions d’euros. ManoMano veut maintenant marquer un peu plus sa présence sur le marché européen. La market place de bricolage-jardinage vient de réaliser un nouveau tour de table de près de 60 millions d’euros. L’américain General Atlantic a participé à ce financement, il est maintenant à la tête du capital.
ManoMano lève 60 millions d’euros pour renforcer sa présence en Europe
ManoMano a été fondée en 2012 par Philippe de Chanville et Chistian Raisson, deux passionnés du bricolage. À ses débuts, la start-up s’appelait «monEchelle.fr», le changement de nom intervient en septembre 2015 avec pour objectif de renforcer son développement en Europe. ManoMano se présente comme une place de marché collaborative dédiée à l’univers du bricolage et du jardinage.
Le site repose donc sur ce concept de market place qui met en relation acheteurs et vendeurs, il ne gère pas de stock, mais ManoMano sélectionne les marchands qui veulent vendre leurs articles. Cependant au-delà des produits disponibles à la vente, on y trouve également des conseils d’experts et des services collaboratifs de bricolage et jardinage. Par le passée, l’entreprise avait bouclé plusieurs tours de table, notamment en 2016 où elle a pu réunir 13 millions d’euros auprès de Partech Ventures, Piton Capital, CM-CIC Capital Privé et le fonds Ambition Numérique géré par Bpifrance.
ManoMano : Un investisseur américain à la tête !
Un nouvel investisseur vient donc de rejoindre récemment les rangs de ManoMano. L’américain General Atlantic prend le lead d’un financement de 60 millions d’euros. Par ailleurs, la start-up vient de recruter Christine de Wendel, l’ancienne directrice de Zalando, et Olivier Vaury, l’ancien DAF d’Amazon France et Casino, pour renforcer son équipe de management.
ManoMano revendique un volume d’affaires de 89 millions d’euros en 2016 et de 32 millions d’euros pour l’année 2015. Elle se hisse à la 19e du classement Frenchweb 500 spécial e-commerce. La start-up compte apporter toujours plus de services pour ses marchands partenaires et faciliter les projets de ses quelque 500 000 clients. Par ailleurs, elle compte gagner plus de part de marché dans les six pays européens où elle est présente.
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